Je ne pense pas m'etre rendu compte que quelque chose, ou alors, j'ai ignoré les choses involontairement. Un jour ca vous arrive et votre petit monde qui jusque la vous semblait “parfait” s'écroule !!! Les questions vous hantent et vous laissent sans réponse. Encore aujourd'hui je pourrais me demander le pourquoi des choses. La complexité des rapports amoureux restera je pense, a jamais, un mystère meme si je pense qu'il faille parfois tout simplement vouloir les choses pour qu'elles arrivent. J'oublie ce petit retour en arrière, pour une seule et unique raison … celle du coeur, celle qui un jour ne s'impose pas, parce que de toute évidence, on ose meme pas y penser. Non parce qu'il faut ignorer ou autre, simplement parce que ce que l'on ose imaginer bien souvent, on ose pas le vivre, ou du moins, on se dit que ca n'existe pas. Je peux m'estimer heureuse aujourd'hui, meme si l'année précédente fut des plus dures. On peut dire que c'était un mal pour un bien !!! J'ai compris depuis peu qu'il ne fallait peut-etre qu'un raisonnement, qu'un temps bien précis adonné a la réflexion, pour se dire que finalement, ce n'était peut-etre pas la bonne personne, que c'était simplement l'habitude ou le fait de n'avoir connu personne d'autre pour se dire que “l'autre” aussi ca aurait pu etre lui. Aujourd'hui, je suis heureuse … et … j'ai mes cotés l'innatendu. La compréhension, cette complicité qui ne complique rien mais qui au contraire vous aide a concrétiser ce que jamais vous n'auriez pu penser construire. On dit que le cheval blanc sur son cheval blanc n'existe que dans les contes de fées. Ce que je pensais également a mon tour. Le dicton qui dit “fontaine je ne boirai pas de ton eau” se voit concluant a l'heure d'aujourd'hui, ne jamais dire jamais. Il faut savoir se lancer, se forcer parfois lorsque les choses n'arrivent pas d'elles-meme. Je n'ai aucun regret aujourd'hui si ce n'est de ne l'avoir rencontré avant. Des années a chercher ce que l'on nous offre en quelques mois, n'est-ce pas la une expérience qui sera certainement pour certains d'entre vous, l'exception qui confirme la règle ? Je n'ai plus qu'a me serrer contre lui pour me dire … avec un énorme sourire … je vais bien !!! Bien !!! Et surtout, NOUS sommes ensemble, c'est moi qu'il a choisi pour vivre tout ca. Ces heures de discussion et ces rires entre nous nous laisse sincèrement penser a tous les deux, que nos “amours” précédents n'étaient certe pas les bons, loin de la !!! Il y a de la deux années, j'étais deux personnes, lui & moi, je dis que j'étais parce que je pense avoir été la seule de nous deux a faire que cette relation continue, non parce qu'il ne le désirait pas (loin de la, il le désirait plus que moi) mais, parce qu'il n'avait pas cette maturité qui fait l'on se rend compte de ce que l'on a a ses cotés et que l'on pense que c'est acquit. Rien est jamais acquit. La connaissance, l'aisance, les sentiments, … s'aquièrent chaque jour et le mieux serait a deux. A l'heure actuelle, je ne dirais plus que JE suis deux personnes mais que NOUS sommes une seule personne, lui & moi. A jamais, j'aurai une authenticité a le respecter, a l'aimer, a le remercier de ce qu'il m'apporte, et m'engage a lui apporter en retour tout ce dont il aura besoin et ce, sans compter. Beaucoup préférent vivre avec des remords que des regrets. Pour ma part, je préfère vivre avec tout simplement … avec lui, sans me demander de quoi sera fait demain, parce que demain je l'aimerai aussi et ce sans avoir ni regret ni remord, si ce n'est que le remord de ne pas l'aimer plus que je ne l'aime deja pour le rendre plus heureux encore. Le seul regret sera celui de n'avoir qu'une vie … mon réconfort est de l'entendre me dire que meme au-dela, nous serons toujours lui & moi.

  Ne dit-on pas que deux précautions valent mieux qu'une ? Effectivement, tout comme vous, j'étais de cet avis. Bien qu'une fois ma décision prise, a l'heure d'aujourd'hui, je neregrette rien. De quoi parle t-elle vous direz-vous … Il va dans le respect de tout un chacun que je garderai cela pour moi. Je n'argumente en aucun cas ce qui a changé les choses, tout simplement, parce que, et je préfère m'en convaincre de la sorte, c'est ainsi que cela devait se passer. A quoi bon faire de votre conscience un objet de torture ? J'essaie moi de me convaincre que pour certaines choses, certains sujets, il n'y a pas lieu de s'investir autant dans ces questions qui de toute facon, resteront sans réponses. J'écoute en ce moment meme ” Unintended ” dont l'interprète est Muse. Meme si je n'en assimile pas tout le sens ou les paroles, je ne peux que me laisser bercer en tapotant ici et la sur mon clavier. Le mal m'a rongé, il m'a bien souvent pendant près d'une année et demi, laissée a mon triste sort, meme si je dois bien l'avouer, je n'étais pas seule, mais … a mon grand regret, je ne peux que confirmer ce que j'avance. Vous est-il deja arrivé de vous fourvoyer pour telle ou telle raison a telle point qu'au final, vous vous demandiez si vous allez vous réveiller. Pas au sens propre du terme, juste que souvent cette citation revient a ces heures mais la je vous parle du réveil auquel on ne croyait pas et qui soudainement voudrait voir le jour tant le débordement ne reste qu'incalifiable a vos yeux. J'ai moi-meme payé les frais de ce débordement. J'y étais certe pour quelque chose mais quoi ? Se poser tant de questions un certain jour et se réveiller tout bonnement un matin, aujourd'hui par exemple, et se dire … comment s'en est-on sorti indemne, sans bobos au coeur et surtout avec encore … ce coeur tant désiré lorsqu'il est perdu. Je terminerai ma p'tite épopée par ceci … aujourd'hui, je sourie, je vais bien et je suis heureuse. Je pourrais très bien l'etre sans le ressentir a ce point j'en conviens. D'une part pourtant, je suis curieuse de m'étonner a ce point depuis 3 mois. Je pense que si je n'étais pas passé par la … cette réelle incompréhension, ce mal, … je ne pourrais pas le dire de la meme facon et avec ce coeur … je me plais de le dire, de l'écrire, encore et encore … JE SUIS HEUREUSE. Merci mon coeur.

 J'ai souvenance de ce jour gris ou ils ne cessèrent de se disputer. Il faisait noir et gris. Il pleuvait des cordes tandis qu'un a un se lancait encore je ne sais quel mot vulgaire pour argumenter leur désaccord. Seule dans mon coin, distante, néanmoins l'oeil vif devant ces coups, ces insultes. Loin de moi l'idée de m'interposer sous peine de prendre moi aussi sans raison. Elle pleurait, il venait de la mettre au sol, l'empechant de se relever. Elle faisait de son mieux pour se réhausser devant moi, malheureusement, au sol, elle resta. C'est de par son coté masculin, hyppocrite et menteur, qu'il parti en la laissant la … seule … toute seule. J'ai le souvenir d'avoir hurlé ” laisse la “, ” arrete “. Je n'avais pas pensé que les mots ne comptaient pas dans ces moments dures et froids. Meme la parole d'une fille, ces jours-la, ne compte pas. La fille, elle aussi, existe t-elle d'ailleurs ? Elle tenta de se relever a l'aide de mon bras. Les gravillons n'arrangeait rien en la faisant trébucher a défaut de la relever. Je l'aie prise contre moi, l'aie serrée très fort, avec tout ce mal qui elle et moi, nous rongeait. Le plus dure était de repartir avec lui. Lui, qui depuis une dizaine de minutes comptait les secondes dans un coin sombre, assis, a son volant. Il n'avait pas, plutot ne voulait pas, remarquer l'ampleur du malentendu. De son arrogance il nous lanca : ” démerde-toi !!! monte et la gamine avec, allez “. Je pense, parce que je ne ressentais pas a sa place, qu'elle s'est assise a ses cotés avec toute la peur du monde, mais surtout, pour l'amour de sa fille. Une fille qui elle, ne demandait pas a le suivre, mais qui, trop petite, ne comprenait rien !!! Allaient-ils recommencer une fois rentrés ? Cette question, leur petite fille, ne cessait de se la poser. Certainement, de peur d'avoir a assister une nouvelle fois a ce désastre qui les laissant sans respect mutuel. Comment tout cela allait-il finir ? Nous allions arriver devant la porte d'entrée, quand un kilomètre avant, sous toute sa tristesse et ses larmes, elle lui demanda de la poser chez celle qui jamais, ne lui ferait subir tel chatiment, sa maman. D'un geste innatendu qui fut le plus dure pour elle et moi, il ouvrit, tout en roulant, sa porte a elle d'un geste brusque et agressif. D'un geste vif, il la poussa dehors. Elle roula … ce corps qui deja venait de pleurer tout ce qu'il pouvait se donnait encore pour elle, il le fallait. Pour elle, pour sa fille !!! Je reste seule, avec lui et sa haine, cette tention qui lui donne cet air méchant. La peur et la tristesse me crèvent le coeur. Ou est-elle, pouquoi m'a t-elle laissée avec lui ? J'ai compris aujourd'hui, qu'elle n'avait pas le choix.

  Amour … Déchirure … Trahison … Passion … Partage … Colère … Joie … Tristesse … … … … … … … Que de mots pour définir un sentiment. Celui de l'amour, l'amour d'un jour, l'amour de toujours. Tous, nous sommes confontés un jour ou l'autre a une ou plusieurs de ces situations. A quoi bon se poser des questions, puisque nous n'aurons probablement jamais les réponses. C'est pourquoi, si comme moi, vous avez trouvé l'amour, la passion, le partage, la joie, … la complicité, … ne cherchez jamais ailleurs ce que vous avez sous le nez. Un dialogue arrange bien souvent les choses meme si pour beaucoup ca n'est pas choses aisée a faire. Dites-vous bien que de toute facon, au final, vous n'aurez pas plus, mais moins, parce que ca n'est pas en quelques rencontres, que vous trouverez ce que vous avec construit avant. Certe, le manque a comblé vous le comblerez, mais pendant un temps seulement. Et le sentiment de culpabilité n'est autre que le remord, le regret, … la peur d'avouer … vivre avec ca, c'est dure !!! Pour une betise, de nos jours, on envoie tout au diable et sans réfléchir, on fait mal a l'autre. L'herbe n'est pas plus verte ailleurs et ce bonheur que vous aimeriez retrouvé vous l'avez connu et vécu avec l'autre aussi, pensez-y !!! Il n'y a rien de pire que d'etre prisonnie(re) de son propre mensonge, surtout si l'on s'apercoit qu'on s'est trompé !! A méditer.

Je tiens a vous remercier pour vos visites et vos commentaires. Malheureusement, je n'ai pas toujours le temps de venir sur mon p'tit journal intime, … le boulot, mon p'tit homme, … pas simple. Ceci dit, dès que je peux, je viens me reposer sur ces pages blanches afin de vous laisser découvrir ma p'tite vie quotidienne. Haaaaaaaaa que j'aime me raconter !!! Et surtout, etre lue. Merci a vous, Pimprenelle